La France empêche l'essor de concurrents à Google et autres filiales de la CIA. Puis, comme il faut faire rentrer du fric dans les caisses de l'état, l'état essaye d'inventer une taxe virtuelle sur ces acteurs américains, sans se rendre compte que toute taxe sera répercutée sur les utilisateurs français. Et la boucle est ainsi bouclée.
Pour couper l'herbe sous le pied de la CIA, il suffit de favoriser l'essor d'acteurs français.
Mais évidemment il y a un problème : c'est contraire au logiciel du PS et de l'UMP. Pour eux, qui dit français dit repli nationaliste, dit peut-être régime pré-fasciste.
On a ce qu'on mérite il parait...