Rien de très étonnant d'apprendre que les privilégiés s'accrochent à leurs privilèges, mais il faut leur rappeler que ces privilèges sont associés à leurs responsabilités d'élus, et que les français ne peuvent plus se satisfaire d'entendre dire que la volonté politique ne peut s'appliquer librement à cause du carcan européen. A quoi bon se faire réélire dans ces conditions, si ce n'est pour un pouvoir fantôme ?
extrait : "Les sénateurs ont refusé de se voir appliquer le projet de non-cumul des mandats en adoptant, dans la nuit de mercredi à jeudi, des amendements leur laissant la possibilité de garder un mandat local. "