La chose que l'on peut conclure face à cette histoire de taxe d'habitation qui part puis qui revient puis qui repart, c'est que l'analyse médiatique au quotidien fait forcément dire des bêtises aux journalistes, et encore plus aux éditorialistes.
En fait, l'analyse médiatique au fil de l'eau, à vif, fait passer les journalistes pour ce qu'ils sont vraiment, à savoir exactement la même chose que les trolls qui sont sur les réseaux sociaux. Ou encore des market makers dans l'environnement du trading.
Rien d'autre en fait que des manipulateurs pour qui, seulement en prenant leurs propres écrits pas encore secs, se retrouvent dans des contradictions tellement énormes ou un parti pris tellement visible, que l'on ne peut conclure qu'au charlatanisme et à la manipulation de l'opinion.
Toute chose qui dans une société où règnerait l'ordre conduirait ces gens là en prison ou au bûcher. D'ailleurs ils y incitent eux-mêmes par leurs pratiques de délation et de procureur médiatique.
On voit le désastre total qu'est le politiquement correct pour la société. Evidemment, la question qui brûle : qui fait la liste ?