Quand je lis les propos de La Quadrature du net, qui est en France une des seules associations qui communique sur l'intérêt des internautes en matière de liberté du logiciel et de liberté d'expression, je ne peux être que subjugué de la contradiction d'une telle association.
En effet, cela commence par son financement. Elle est financée par un multi-milliardaire sulfureux, George Soros, qui est à l'oeuvre depuis des années pour financer des révolutions colorées, c'est-à-dire des mouvements violents qui n'ont rien à voir avec la volonté du peuple.
Deuxio, et c'est pire encore, la quadrature du net croit bon de mettre le paquet sur l'utilisation de logiciels open source et décentralisés, en oubliant le plébiscite massif des internautes du monde entier pour des services centralisés, comme WhatsApp.
La quadrature n'est pas à une contradiction près. Elle se trompe d'ennemi en dénonçant les instances européennes, et leur soi-disant manque de transparence. C'est aussi leur confier beaucoup de pouvoir qu'elles n'ont pas intrinsèquement. La quadrature du net ferait mieux de faire en sorte que les internautes cessent d'utiliser des services centralisés.
Et là c'est une toute autre montagne à gravir, car il va falloir s'en prendre aux habitudes des internautes...