Tout un symbole que le déclin de l'éditeur du fameux Angry Birds, qui a participé depuis 2008 à l'essor des appareil portables, et qui va se séparer du tiers de ses effectifs. Un signal que les petits éditeurs de jeux prendront pour ce qu'il est, pour le chant du cygne, non de cet éditeur en particulier, mais d'un secteur tout entier.
En fait, on peut se demander si Angry Birds, Candy Crush et consorts n'auront été que les idiots utiles de cette marche forcée vers les appareils portables connectés en permanence, avec toutes les conséquences que cela porte.