Du bon et du mauvais.
D'un côté, cela va nous débarasser de l'écologie pendant un moment. Ce n'est plus vendable politiquement en temps de crise. Tout le monde comprend que l'écologie, ça veut dire la ponction tout azimuts, les interdictions divers et variées.
De l'autre, plus mauvais, les bretons s'en prennent à des radars, qui seront remontés sur place, au lieu de s'en prendre au pouvoir local et national. Evidemment, ce serait triste de s'en prendre à ce pouvoir car celui-ci n'est que résiduel par rapport au pouvoir réel qui ne se voit pas, c'est-à-dire celui des multinationales et du communautarisme.
S'en prendre aux radars, c'est la même chose que lorsque des banlieues, des jeunes mettent le feu aux véhicules de leurs voisins. Au lieu de prendre le RER et de venir faire ça à Neuilly ou dans les quartiers chics de Paris.